Déroulement de nos actes de Résistance
Chaque jour
Les hommes
de
l'ombre
vous parlent des évènements
et
des Faits de Résistance
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Nos Messages personnels
- Le 20/10/2022
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Aujourd'hui 26 Mars
D'abord nous dvons vous expliquer que le mouvement Combat est implanté en Haute-Corrèze. De 1942 à 1943,ctains de nous résistants etions traqués par la Gestapo et la police de Vichy nous devions nous munir de fausses pièces d'identités et des terrains de parachutage sont recherchés. Celui de Thamaly, près d'Ussel, est homologué, et des avions anglais peuvent y atterrir en juin 1942.
Nos premiers réfractaires au STO sont placés dans les maquis de Lamazière-Basse et de Chambon, près de Lapleau. Les parachutages effectués à Sornac et Bassignac permettent d'armer les troupes clandestines.Corps 1
De 1942 à 1943,Nos camarades résistants traqués par la Gestapo et la police de Vichy doivent se munir de fausses pièces d'identités et des terrains de parachutage sont recherchés.Celui de Thamaly, près d'Ussel, est homologué, et des avions anglais peuvent y atterrir en juin 1942. Les premiers réfractaires au STO sont placés dans les maquis de la Mazière-Basse et de Chambon, près de Lapleau. Les parachutages effectués à Sornac et Bassignac permettent d'armer les troupes clandestines. Les camps de l'AS (Haute-Corrèze) mènent plusieurs opérations armées contre l'ennemi parachutages et transports d'armes, sabotage des lignes à haute tension et voies ferrées à Bonaygue, Millevaches, Neuvic...
Dans la région de Tulle, notre résistance se développe en 1942. En octobre 1943, les parachutages sur les terrains du Pouget, de Saint-Martial complètent l'armement de nos maquis.
Parachutage en Provence en 1945. Source DR
Au sud du département, Edmond Michelet prend la direction du mouvement Combat.La Corrèze va compter jusqu'à 71 maquis. Ces maquis ont l'effectif moyen d'une section pouvant atteindre celui d'un bataillon.
Dès juillet 1940, en Corrèze, des communistes français, qui n'acceptent pas la défaite, se regroupe pour résister à l'occupant. En septembre 1940, Georges Guingouin prend le commandement de VOS de la Haute-Corrèze. De juin 1942 à décembre 1943, les FTP corréziens se distinguent par un nombre impressionnant d'opérations contre l'occupant.
Sabotages © Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne
En Creuse, c'est surtout le mouvement Libération qui a le plus d'ampleur. L'origine du premier groupe FTP en Creuse remonte à octobre 1940 . des noyaux de groupes se forment à Guéret, Lizières, Saint-Privat, La Souterraine... D'août à septembre 1942, des pylônes à haute tension sont sabotés à Eguzon et Chatelus. Le premier parachutage a lieu en septembre 1942, sur un terrain de la commune de Maillat. Nos camaradesFFI en Creuse sont placées sous l'autorité du général Koenig qui les dirige depuis l'Angleterre
Dans la région de Tulle, la résistance se développe en 1942.
En octobre 1943, les parachutages sur les terrains du Pouget, de Saint-Martial complètent l'armement des maquis.
Au sud du département, Edmond Michelet prend la direction du mouvement Combat. La Corrèze va compter jusqu'à 71 maquis. Ces maquis ont l'effectif moyen d'une section pouvant atteindre celui d'un bataillon.
Dès juillet 1940, en Corrèze, des communistes français, qui n'acceptent pas la défaite, se regroupe pour résister à l'occupant. En septembre 1940, Georges Guingouin prend le commandement de VOS de la Haute-Corrèze. De juin 1942 à décembre 1943, les FTP corréziens se distinguent par un nombre impressionnant d'opérations contre l'occupant. -
Information du Magazine
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 4 Mai
Bonjour
Beaucoup d'entre nous s'éteignent au fil du temps et les mémoires sur notre période s'effacent
En réalisant ce magazine est de raconter
contactez notre Magazine .
Merci par avance
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Témoignages
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 9 Juin
Aujourd'hui " Le 6 juin 1944, c'est le débarquement en Normandie; nous l'apprenons par Radio Londres. Tout le monde est euphorique.
Le 7 juin 1944, Jo Quéré vient me voir et me prévient que je suis convoqué par Grand Turc. Le lieu de rendez-vous se trouve à Porsmilin. Ce n'est qu'un banal sentier très isolé se trouvant surles hauteurs entre Porsmilin et Plougonvelin au-dessus du lieu-dit Kerguernen. Là, je rencontre trois personnes, dont deux que je connais bien car je joue au football avec elles, mais je ne savais pas qu’elles étaient dans le réseau. Le cloisonnement est visiblement important. Au final, nous sommes six à cette réunion.Les nouvelles consignes que nous donne Grand Turc sont les suivantes : maintenant la distribution des tracts est terminée. Le renseignement continue. La priorité est de former des groupes combattants avec des gens qualifiés. Par contre, la discrétion est toujours de rigueur. Le débarquement a commencé mais les alliés sont encore loin. "Nos Maquis
- Le 06/06/2022
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Les Maquisards sont nés dans l’hiver 1942-1943, de l’initiative de réfractaires ayant décidé de se cacher pour fuir le départ en Allemagne au titre de la Relève, puis, en février 1943, pour échapper au Service du travail obligatoire (STO). Mais il ne faut pas confondre réfractaires et maquisards. En effet, s’ils sont tous entrés dans la clandestinité pour échapper aux forces de l’ordre, très peu de réfractaires on choisi de prendre le maquis (10 à 20 %). Les premiers maquis sont des camps de regroupement aménagés à la hâte dans des massifs forestiers, souvent dans les régions de montagne. Les hommes affluent plus nombreux tout au long de l’été 1943, renforçant quelques camps précurseurs qui avaient vu le jour dès le printemps 1942, sous l’impulsion d’individualités fortes qui avaient fait le choix immédiat de la lutte armée (Georges Guingouin ou Henri Petit, qui deviendra le colonel Romans-Petit par exemple). A Londres, le général de Gaulle craint que ces maquis n’échappent au contrôle de la France libre. L’auteur estime qu' »un seul homme allait cependant se montrer plus visionnaire que les autres : Henri Frenay, le fondateur du mouvement Combat« , qui envoie à Londres un premier texte proposant la formation de réduits dans les massifs montagneux, puis un second rapport en avril 1943, précisant sa stratégie concernant la transformation des réfractaires en maquisards combattants.
L’apparition des maquis à modifié profondément la structure de la Résistance et la nature de son action, » imposant notamment au sein des mouvements dominants de résistance la question de leur emploi, d’une part, celle du passage à la lutte armée et l’action immédiate d’autre part. ». En effet, l’afflux des hommes « montant au maquis » à partir du printemps 1943 représente un phénomène tout à fait imprévu, qui place les dirigeants de la Résistance devant le fait accompli. Ni le général de Gaulle, ni les Anglo-Américains ne sont à l’origine favorables à l’organisation d’une résistance armée qui mènerait une guérilla « qui aurait l’immense inconvénient de renforcer les effectifs des troupes d’occupation, compromettant sérieusement le bon déroulement d’un débarquement en France« . La France libre admettrait à la rigueur un regroupement de maquisards dans le massif du Vercors, alors que Frenay n’est pas favorable à la constitution de gros « maquis mobilisateurs ». Il souhaite encourager la formation de petits groupes mobiles d’une trentaine d’hommes. Dans cet objectif il crée un « Service maquis » pour former les volontaires en vue d’en faire des combattants, une » Ecole des cadres du maquis » pour les doter de responsables expérimentés, et un « Comité d’action contre la déportation » pour empêcher les départs des travailleurs contraints vers l’Allemagne. Progressivement la France libre va se rallier à l’idée d’une action immédiate (sabotage et guérilla) des maquis et les Anglais vont se résoudre a les armer quant ils auront constaté, par l’envoi de missions en France, leur organisation et leur potentielle efficacité.
De Gaulle voyait d’un mauvais oeil « le développement anarchique de la lutte armée en France » ; il cherche donc à intégrer les maquis « dans une stratégie militaire globale et cadrée« . Il fait le choix de maquis mobilisateurs rassemblant plusieurs milliers d’hommes dans une forteresse naturelle qu’il serait assez aisé de défendre, avant de passer à l’offensive sur les arrières de l’armée allemande, après le Débarquement, dans le cadre d’une opération alliée. L’Organisation de résistance de l’armée (ORA), dont les cadres sont pour la plupart des militaires issus de l’Armée d’armistice, refuse toute action de guérilla subversive et accepte la stratégie londonienne. L’Armée secrète, qui regroupe les formations paramilitaires des trois mouvements de zone Sud, défend la même position, n’entendant pas se lancer dans la guérilla et dans l’action immédiate sans l’aide et l’accompagnement des troupes alliées. Par compte quand les FTP constituent des maquis -à l’origine ils ont privilégié la guérilla urbaine-, ils s’opposent a cette tactique et à cette stratégie. Ils sont favorables à la création de petits maquis, multipliant les sabotages et engagés dans une guérilla permanente.
La lutte armée a précédé les maquis, qu’il s’agisse des opérations menées par les Jeunesses communistes dès 1941 ou par les groupes francs constitués au sein du mouvement Combat. Mais quand les réfractaires affluent par dizaines de milliers dans les montagnes françaises, il devient nécessaire de les rassembler, de les organiser, de les encadrer, de les motiver, de les nourrir et de les armer. Ce qui suppose des moyens en hommes, en finance et en armes. Le service maquis des MUR (Mouvements unis de résistance, en zone sud) se fixe pour objectif de transformer ces maquis refuges en maquis combattants, capable de pratiquer d’abord les sabotages. Des armes en nombre suffisant ne peuvent venir que de Londres, ce qui suppose que les chefs de maquis puissent entrer en contact avec la France libre ou avec les Anglais (seuls détenteurs des moyens logistiques de parachutage), et que les maquis soient considérés comme des éléments à prendre en compte dans une stratégie de libération.
Au fil des années les derniers temoins de cette periode s'éteignent et les mémoires s'effacent
N'oubliez pas...
Nous travaillons sur un projet de collecte pour continuer le devoir de mémoire
Nous recherchons des Photos,des temoignages,des lettres des objets
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Mont Valerien
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 17 Avril
1942
Exécution de 20 résistants condamnés à mort par le tribunal militaire allemand de Paris lors du procès de la Maison de la Chimie durant lequel 26 camarades de l'Organisation spéciale et des Bataillons de la jeunesse ont comparu, du 7 au 14 avril 1942.
Nos camarades Canadiens
- Le 06/06/2022
- 0 commentaire
La Seconde Guerre mondiale a débuté en 1939, lorsque l’Allemagne a envahi la Pologne, et a pris fin en 1945, au terme de six années de féroces combats. Plus d’un million de Canadiens et de Terre-Neuviens ont servi pendant cette guerre, au pays et dans le monde entier, et plus de 45 000 de nos braves hommes et femmes en uniforme ont perdu la vie et 55 000autres ont été blessés. decouvrir
Aujourd'hui 6 Juin
Caporal Francis Pegahmagabow
Collection d’archives George-Metcalf
MCG 20030035-006
Francis Pegahmagabow a été l’un des quelques soldats canadiens (39 au total) à recevoir la Médaille militaire et deux agrafes pour son service. Sa Médaille militaire lui a été décernée en 1916 pour ses deux années de service précédentes à titre de messager dans des conditions dangereuses, et les agrafes subséquentes lui ont été remises pour ses actes de bravoure dans la bataille de Passchendaele, en 1917, et durant la Campagne des 100 Jours, en 1918.
.Après la guerre, Francis Pegahmagabow est rentré au Canada. Il est devenu par la suite chef de la Première Nation de Wasauksing et défenseur des droits des Autochtones.
.Les médailles de Francis Pegahmagabow et sa coiffure de Chef suprême d’Amérique du Nord sont exposées dans la galerie 2 du Musée de la guerre.
Notre action en Auvergne Rhône Alpes
- Le 05/04/2018
- Dans la Resistance dans les Régions
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Nos action
en
Haute-Savoie
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Nos camarades
présentès
aujourd'hui
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Nos Musées
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Resister autrement
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Notre action en Auvergne Rhône Alpes
- Le 05/04/2018
- Dans la Resistance dans les Régions
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Nos actions
en
Savoie
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Nos camarades présentès
aujourd'hui
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Nos Musèes
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Musée de la Résistance et de la Déportation
de
l'Isère
[GOULAG]
Dimanche 3 février,14h30,
une visite guidée vous permettra
de découvrir ou redécouvrir l'exposition
L'entrée est libre et gratuite,mais attention les places sont limitées !
©Tomasz Kizny…
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Resister autrement
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