Seconde guerre  Résistance Française les hommes de l'ombre

Déroulement de nos actes de Résistance

 

Chaque jour

 

Les hommes 

de 

l'ombre 

 

vous parlent des évènements

et

des Faits de Résistance

 

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  • Mémoires des Résistants et FFI Bretons

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    Aujourd'hui 17 Avril


    Peut être une image de 1 personneDe Bortoli Aline 

    (1908-2004)

    Son mari résistant en prison à #Brest, elle postule pour y faire des ménages et parvient à l'approcher pour coordonner son évasion. Il est hélas déplacé, ruinant l'opération. Il sera fusillé mais elle, poursuivra la lutte et élèvera leurs deux enfants.

    https://www.resistance-brest.net/article1113.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Les Justes de France en Bretagne

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    Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939. 520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
    L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
    Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin. La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
    Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner.
    Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.

    Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées. Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
    Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice. Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.

    L'Ile-et-Vilaine est en zone occupée. voici ce que nous pouvons lire dans wilkipédia

    La région est soumise dès la fin juin 1940 : Rennes capitule le 18 juinBrest et Nantes le 19 et Lorient le 21503. De par sa situation, la région est stratégique pour l'occupant : préparation à un possible débarquement en Angleterrebataille de l'Atlantique, puis cible potentielle d'un débarquement allié en France. C'est le 25e corps d'armée qui assure l'occupation, avec à sa tête Von Prager de juin 1940 à mai 1942 puis Fahrmbacher jusqu'à la fin de l'occupation. La construction ou l'agrandissement d'infrastructures militaires commencent: les bases de sous-marins de BrestSaint-Nazaire et Lorient commencent début 1941505 et le chantier du mur de l'Atlantique en 1942. L'Organisation Todt est chargée des travaux et 82 000 personnes travaillent sur ces chantiers en Bretagne en juin 1943504.

    À partir du 4 juin 1944la résistance est sollicitée pour désorganiser l'occupant en prévision du débarquement de Normandie. Le 6 juin, à 00h30, des parachutistes du Special Air Service sautent successivement dans le Morbihan puis dans les Côtes-du-Nord pour former les résistants bretons dans le cadre de l'opération Overlord507. Le 18 juin, le Maquis de Saint-Marcel subit la répression allemande508. Les effectifs de la résistance passent de 1 500 personnes le 6 juin à 9 000 fin juillet puis à 30 000 au 8 août509. La présence bretonne dans les Forces françaises libres est particulièrement forte et rapide. Elle représente en septembre 1940 plus de 70 % de ses effectifs, avant de se stabiliser autour de 40 % pendant le reste du conflit510, et s'organise à Londres au sein du Sao Breiz

    La libération de la région commence à partir de la percée d'Avranches du 31 juillet 1944, avec la IIIe armée américaine commandée par le général Patton. Les Allemands doivent se replier sur quelques ports bien défendus en attendant d'éventuels secours venant par la mer512Saint-Malo est libérée le 17 août 1944 après deux semaines de siège, et Brest l'est le 19 septembre 1944 après quatre semaines, soit quatre semaines après la libération de Paris. Dans les deux cas, les bombardements ont réduit ces villes en ruines497Autour de Lorient et de Saint-Nazaire se constituent des poches qui ne se rendent que les 7 et 11 mai 1945


    Enfin  concernant la population juive :Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
    A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.


    En octobre 1940, on compte quelques centaines de personnes juives en Ille-et-Vilaine. Ce sont des descendants des réfugiés alsaciens venus après la guerre de 1870, des exilés d'Europe Centrale des années 1930 et aussi des personnes qui ont quitté le Nord de la France au moment de l'exode de 1940.

    "Le 11 octobre, relayant l'ordonnance allemande du 27 septembre 1940 qui impose aux Juifs de se faire recenser dans la localité de résidence, la Préfecture d'Ille-et-Vilaine ordonne à tous les Juifs rennais de se présenter dans les commissariats de quartier afin de constituer une de ces fiches dont l'efficacité devait malheureusement se vérifier quand il s'agirait de les conduire à la mort.
    Cette mesure ne concerne pour l'heure que les Juifs de la zone occupée par les Allemands qui doivent aussi se faire apposer à l'encre rouge sur la carte d'identité, la mention, à présent déshonorante, JUIF ou JUIVE."1

    Le 16 juillet 1942, 18 personnes sont raflées dans le département.Le 9 octobre suivant une autre rafle. 36 Juifs sont raflés par la Police et sont parqués sur le Champ de Mars avant d'être envoyés à Drancy.

    Le 4 janvier 1944, une nouvelle rafle est effectuée dans toute la Bretagne
     

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    Nous vous présentons

    Les 5 Justes parmi les Nations de l'Ille-et-Vilaine

     

     

     

     

  • La Marine Bretonne

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    Au début de la guerre en 1939 la marine Française  est incontestablementl’une des plus modernes et des puissantes de son temps :elle se situe au quatrième rang mondial, derrière la Royal Navyl’US Navy et la marine Japonaise (Nihon Kaigun), devant la Regia Marinaet loin devant la Kriegsmarine ou la Sovietskaya Flota 

     

     

     

  • Notre Agenda

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    Aujourd'hui 10 Avril


    Guerre 39/45, Soldats français, 1940, Vintage silver print vintage silver  print | eBay Bonjour      Voici nos Rendez-Vous

     

    Écrire pour donner une voix à ceux qui n'en ont pas.

    Peut être une image en noir et blanc de 1 personne et intérieur

    ✏️ Après la guerre, Madeleine Riffaud devient journaliste, écrivaine et grand reporter. Dans son best-seller "Les linges de la nuit" elle défend le travail des infirmières (1974).

     

  • Aujourd'hui dans notre Presse

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    Aujourd'hui 5 Août 1940


    Guerre 39/45, Soldats français, 1940, Vintage silver print vintage silver  print | eBay

     Bonjour voilà ce que vous auriez pu lire si vous aviez vecu à notre époque

     

     

     

     


    ce 5 Août nous apprenons que les Lieux de Stationnement de nos unités militaires ont été definies

    — Le 221* R. A. C. est 4 Louplac-de-la-Réole.
     ha Z33* R. A. O. est à Lasa (Gard).
    — 70» Cie d'ouvriers à  Castres (Tarn).
    — 74' Cie d'ouvriers A Saturée (Lot).
    — La 508" Cie de Pare stationne à Lecros (Hérault). .
    . — Un détachement du 63eme G.R D I. se trouve à Ispagnac (Lozère).
    — La 403 eme Cie Hlppo Q.G A. est à Fuy (Hte Loire).
    La  1ere Cie du G R T 4  est repliee  à Eyimat (Dordogne).

    Dans la suite de notre presse  nous sommes informés des dernières nouvelles de l'etranger

    .La Grèce a célébré hier dans l'enthousiasme le quatrième anniversaire de la prise de pouvoir du général Metaxas, président du conseil et ministre des Affaires étrangères de Grèce.Dans l'enthousiasme, car le général Metaxas o réussi» dans son pays, un véritable tour de force : celui de régénérer les mœurs parlementaires et de supprimer le favoritisme et la corruption.La dernière fois qu'il m'a été donné de voir M. Metaxas, ce fut au début de février de cette année, à Belgrade, lors de la réunion du Conseill'Entente balkanique. :Trapu, de solide carrure, visage rondet front haut, le président du Conseil du royaume des Hellènes dégage de toute sa personne une impression, d'équilibre, de pondération et de lucidité, vertus distinctives de- toute sa vie.Le Conseil montrait le désir dés Etats balkaniques d'instaurer une sorte de fédéralisme économique qui leur aurait-permis, aux pays balkaniques, de se teniren dehors de la guerre, et de vivre sur eux-mêmes — dans la mesure du possible, évidemment.Rendons à César..

    .L'idée fut émise par la Roumanie. EtM. Gafenco, alors ministre des Affaires étrangères, aujourd'hui ministre roumain à Moscou, eut tôt fait de rallier à sa thèse ses collègues de Turquie, de Yougoslavie et de Grèce.Et je ne puis ne pas évoquer l'impression profonde que produisit sur tous lesjournalistes étrangersnombreux étaient ceux de Berlin et de Rome M. Metaxas quand, en quelques phrases prononcées en français, il apporta l'adhésion complète de son pays à la suggestion de M. Gafenco.Les méfaits du parlementarisme.Revenons à M. Metaxas.Après une brillante carrière dans l'armée, M. Metaxas vînt — comme tous ses
    compatriotes  à la politique.

    Quatre-vingt tonnes de bombes sont lancées sur une raffinerie de pétrole à Sàkzbergen.Au cours de nos raids d'hier au-dessus de l'aérodrome de Schipol, plusieurs
    quadrimoteurs ermeitiis ont été endommagés. A Sakzbergen, une raffinerie de pétrole o été atteinte en trente points différents. Cette raffinerie constitue une importantesource de ravitaillement en essence et en lubrifiant t 80 tonnes de bombes explosives ont été lancées à cet endroit. ( "L'estuaire de ta Tamise et la. côteest de l'Ecosse bombardés
    sans résultat.L'activité aérienne ennemie au coursde la nuit a porté surtout sur les régions voisines de l'estuaire de la Tamise et sur la côte Est de l'Ecosse. Des bombes
    ont été lancées sur divers points de ce srégions- ainsi que dans le pays de Gall e s.On ne signale ni victimes ni dégâts


    A: Rome


    Bombardements de voies ferrées,de concentrations d'autos blindées ou Soudan et du port de Zaïla en Somalie britannique.Au Soudan, nous- avons bombardé
    Haya, qù un hangar et la voie ferrée ont été atteints.A Kourmouk, nos bombardements ont provoqué un grand incendie..Dans le Kenia, noç formations aérien
    nes ont attaqué une concentration d'au tos blindées au sud de Wajir.Au cours du combat de Pebel, dont il a été parié dans un précédent comrimuniqué, 64 soldats ennemis ont été tués lors d'une contre-attaque. Parmi eux sa trouvaient trois officiers.Le fanion du bataillon des « King'sAfrican Rifles » se trouve entre nosmains. ,
    Dans la Somalie britannique, nousavons lancé des ibomtoes sur le port de Zaïla. Un de nos avions n'a pas rejoint sa base, Une incursion ennemie sur l'ouvragefprtifiç de Derna. en Afrique septentrionale, n'a causé que des dommages très légers,
    Un de nos sous-marin n'est pas rentré à, 34 base.Un contre-torpilleur italien coule le sous-marin anglais « Qs-wald ».Alors qu'il se trouvait en mission dans
    mer Ionienne, dans, la nuit, du }* r au
    2 août, lê. contre-torpilleur « Vivaldi *lança dix bombes sous-marines contre•un gros sous-anarin en surface.le commandant du squs-marin anglais demanda des secours par signaux lumineux. Le < Vivaldi t recueillit iin àun tous les "rescapés qui nageaient avec peine dans la nappe formée par, le mazout sorti du sous-marin éventre. Il s'agissait
    de 52 hopianès sur les 56 constituant l'équipage, Le çeusfjnajin britannique débruit est V « » ; y jaugeait1.4TS tarant. Le$ prisonniers ont 44clW qme r % Oswaid » s© trouvait en missiondepuis Plusieurs semaine^ et qu'il avai

     

    Avant de refermer notre journal nous vous invitons à tourner les pages 

     

     

     

     

     

     


     

  • notre action dans l Ain

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    Aujourd'hui 31 Mars


     


    Ain (département) — Wikipédia

    Notre Situation dans l'Ain

    La drôle de guerre

     

    Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
    520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
    Au Luxembourg, au moment où les troupes allemandes envahissent le pays, resté neutre, la population juive est estimée à 4 200 personnes, dont quelque 3 200 réfugiés venus d’Allemagne, d’Autriche, de Pologne et d’autres pays d’Europe centrale.
    Près de 50 000 Luxembourgeois vivant dans le sud du pays, face à la ligne Maginot, sont évacués vers la France. Parmi eux, quelque 1 650 Juifs trouveront refuge en Belgique et en France. En août 1940, une centaine de personnes peut quitter le Luxembourg grâce au baron von Hoiningen-Huene, chef du bureau des laisser-passer, un Allemand vivant au Luxembourg depuis 1922.

    Face à l'avancée allemande, le gouvernement français désemparé se replie à Bordeaux dès le 11 juin 1940.

    La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.

    Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner.

    Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement.
     

    L'Occupation et la collaboration

    Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice qui entrera en vigueur le 25 juin.
    En quelques semaines, l'Allemagne nazie, l'Italie fasciste et l'État français vont imposer au pays un ordre nouveau fondé sur l'oppression et la terreur.
    Cas unique en Europe, Hitler et Mussolini font le choix de maintenir en place un gouvernement français doté de réels pouvoirs. Le maréchal Pétain obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie à Vichy par Pétain et son administration convaincue de la victoire totale de l'Allemagne et de ses alliés.

    Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation1 qui sépare la zone dite "libre" où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.

    L'article 2 de l'armistice du 22 juin 1940, prévoit "Pour assurer les intérêts du Reich allemand, le territoire français situé au nord et à l’ouest de la ligne tracée sur la carte ci-annexée sera occupé par les troupes allemandes. Les territoires qui ne sont pas encore aux mains des troupes allemandes seront immédiatement occupés après la conclusion de la présente convention".

    En zone Occupée, l’occupant édicte un ensemble d'interdiction, dont celle de célébrer le 14 juillet 1940, afin d’anéantir toute référence à la Révolution.2 Vichy, quant à lui remplace la devise héritée de la Révolution française "Liberté, Égalité, Fraternité" par celle de la Révolution nationale, "Travail, Famille, Patrie" et les bustes de Marianne dans les mairies par des bustes du maréchal Pétain.

    L'Ain est coupé en deux. L'ensemble du département reste en zone dite "libre", mais le Pays de Gex, frontalier avec la Suisse, est déclaré en zone interdite, sauf une partie de la commune de Lélex (la mairie se trouvant en zone interdite), tandis que 5 ou 6 communes de Haute-Savoie sont incluses à la zone interdite (ArcineChevrierClarafondÉloiseVulbensSaint-Germain-sur-Rhône, soit une couronne autour de GénissiatBellegarde-sur-ValserineLéaz-Fort L'Écluse).
    Le 24 août 1941, ces communes seront rattachées à la zone dite "libre" (puis à la zone d'occupation italienne à partir du 11 novembre 1942).

    La ligne de démarcation suit désormais le cours du Rhône depuis son entrée en France (à Pougny), jusqu'au confluent avec la Valserine, à Bellegarde-sur-Valserine, et remonte ensuite le cours de cette rivière jusqu'à sa source. Ambérieu-en-BugeyNantua et Bellegarde-sur-Valserine se trouvent dans cette zone italienne tandis que le pays de Gex reste inclus dans la zone interdite.
    Toutes les communes de la zone occupée et interdite (essentiellement le Pays de Gex), dépendent de la sous-préfecture de Gex, qui, elle-même est détachée de la préfecture de Bourg-en-Bresse, et rattachée à la préfecture de Besançon.

    Le franchissement de la ligne de démarcation, entre le Pays de Gex et la Haute-Savoie, se fait sur la Nationale 206 qui relie Collonges à Saint-Julien-en-Genevois, au pont Carnot. Là, un poste de douaniers allemands est établi côté Ain, et un poste de douaniers français, côté Haute-Savoie.3

    Aucune commune de l'arrondissement de Nantua ne se trouve alors dans la zone occupée.Jusqu'en septembre 1940, aucun courrier ne peut circuler d'une zone à l'autre.

    Le 11 novembre 1942, après le débarquement des Alliés en Afrique du Nord, l’armée allemande envahit la zone sud. Les camps français sont alors "vidés" et les internés qui s’y trouvent sont déportés.
    Le territoire compris entre la rive gauche du Rhône et la frontière italienne est occupé par les Italiens jusqu’au 8 septembre 1943 et devient un refuge pour de nombreux juifs.

    Après l'occupation allemande de Bourg-en-Bresse, le siège de la Gestapo est installé à l'Hôtel de l'Europe, rue Général-Debeney.

     

     

    La résistance et la répression Ce que vous devez savoir

    La Résistance dans le département de l'Ain 1940-1944, de Patrick Veyret :  avis et résumé critique de BenjaminPatrick Veyret : Histoire de la Résistance armée dans l'Ain.En feuilletant ces livres vous apprendrez notre action dans l'Ain

    Dès son entrée en France, l’occupant introduit le droit pénal allemand en zone occupée et en zone rattachée.A partir de l'été 1941 et l'attaque allemande contre l'Union soviétique, l'occupant radicalise la répression contre les opposants.

    Les premiers attentats contre des officiers allemands sont brutalement réprimés. Le 16 septembre 1941, le maréchal Keitel ordonne un ratio de 50 ou 100 communistes fusillés pour un soldat allemand tué.D’octobre à décembre 1941, plusieurs exécutions de masse ont lieu, à Châteaubriant, Nantes, Bordeaux, Paris.Ces exécutions de masse, très critiquées par l’opinion française seront remplacées à partir de décembre 1941 par des déportations décrétées NN (Nacht und Nebel - Nuit et brouillard).

    En raison de sa situation frontalière avec la Suisse et de sa géographie comprenant plaines et montagnes, l’Ain se trouve pris au cœur des différents découpages qui, selon la période, favorisent la création de nos maquis, l’afflux de juifs persécutés, la répression allemande et la mise en place de réseaux d’aides et de sauvetages.A partir de 1943, et l'annonce d'un débarquement allié, prélude à la libération de la France, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains nous  rejoignent dans la résistance  ou nous etions également pourchassés.

    Les sabotages se multiplient, mais la répression ordonnée par le haut commandement allemand sera sanglante.Du 9 septembre 1943, date de la capitulation italienne, à l’été 1944 l’ensemble de la région est totalement occupé par les Allemands et la répression conduite par l’occupant allemand et l’État français, devient brutale.

    Le 11 novembre 1943, "Dans toutes les localités du département, les monuments aux morts sont honorés de gerbes (…). À Nantua, trois cents personnes défilent devant le monument aux morts et entament la Marseillaise".4

    A Oyonnax, le défilé du maquis est organisée par Romans-Petit, chef des maquis de l’Ain.  Nos camarade maquisards déposent devant le monument aux morts une gerbe de fleurs en forme de croix de Lorraine, portant l'inscription "Les vainqueurs de demain aux vainqueurs de 1914-1918".

     
    A Bourg-en-Bresse, dans la nuit du 10 au 11 novembre 1943, André5 et Georges Levrier et Pierre Chanel, membres de l'Armée secrète, parviennent, malgré les patrouilles allemandes, à dresser le buste de Marianne qui tient un drapeau avec la croix de Lorraine sur le socle d'une ancienne statue laissé vide par les allemands et écrivent sur le piédestal "Vive la IVe" en lettres peintes et le 11 novembre, les drapeaux alliés flottent au sommet du clocher de l’église Notre-Dame.6

    Décembre 1943
    En décembre 1943, à Nantua, trois jeunes gens révoltés contre la collaboration engagent une expédition punitive. Ils promènent dans la ville deux collaborateurs notoires à demi-nus et le corps peint au goudron de croix gammées.

    En représailles le 14 décembre 1943, 500 militaires allemands débarquent à la gare de Nantua par un train spécial. Ils arrêtent 150 hommes de 18 à 40 ans. Après des libérations et des évasions, 92 personnes sont déportées dans un camp de travail en Allemagne le 22 janvier, dont le maire-adjoint et le capitaine de gendarmerie. Un grand nombre ne reviendra jamais des camps de la mort.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Notre Bulletin du Jour

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    Aujourd'hui 30 Mars


    La Declaration Franco-Britannique

    Les Allemands "avaient annoncé au lendemain de l'entrevue du Brenner une « surprise sensationnelle », devant se produire à très bref délai, un événement de nature à placer le monde devant un fait nouveau d'une importance capitale pour l'évolution de la situation générale. Aucune manifestation spectaculaire en vue d'intimider les neutres et de les entraîner dans quelque campagne en faveur de la paix à tout prix ne s'est produite jusqu'ici.On a le sentiment que les efforts du Reich pour réaliser un accord Berlin-Rome-Moscou,un pacte dit. « triangulaire » visant spécialement le Sud-Est du continent, se heurtent à de graves: difficultés: Quoi qu'il en soit, aucune initiative utile n'a pu être prise jusqu'à
    présent par le Reich hitlérien et ses associés de l'axe Rome-Berlin et de l'axe Berlin-Moscou. Le fait nouveau, ce n'est pas l'Allemagne qui le crée : c'est la France et l'Angleterre par la déclaration commune publiée hier en conclusion de la sixième réunion du Conseil
    suprême..

    C'est là un acte de la plus grande importance, et qui marque effectivement le début d'une nouvelle phase de la guerre européenne.
    Toutes lés informations que l'on possède s'accordent à constater que la sixième réunion du, Conseil suprême, tenue à Londres, a abouti .à des décisions capitales, non seulement pour la conduite de la guerre, mais également pour l'organisation de la paix lorsque celle-ci aura été rétablie par . la victoire des alliés.

    Le communiqué souligne que le Conseil suprême û passée e» revue les développements survenus dans la situation stratégique, depuis sa dernière réunion, et qui! a fixe là ligne d'action à suivre dans l'avenir. Lé Times en dégage ce matin que les chefs, des deux grandes démocraties alliées se sont réunis pour contrecarre, et, chose plus importante encore, pour devancer tout mouvement des
    Allemands. Mais le fait à retenir tout particulièrement, c'est la déclaration solennelle aux termes de laquelle le gouvernement de la République française et le gouvernement du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord s'engagent mutuellement à « ne négocier ni conclure d'armistice ou de traité de paix, durant la présente guerre, si ce n'est de leur commun accord », qu'ils s'engagent « à ne discuter les termes de la paix qu'après uncomplet accord entre eux sur les conditions nécessaires' pour leur assurer respectivement les garanties effectives et durables de leur sécurité », et, enfin, qu'ils s'engagent « à maintenir, après le rétablissement de la paix, leur communauté d'action dans tous les domaines
    aussi longtemps qu'elle sera nécessaire pour la sauvegarde de leur sécurité et pour la reconstruction, avec le concours des autres nations, d'un ordre international assurant en Europe la. liberté des peuples, le respect du
    droit et le maintien de la paix ».

    Voilà, qui est. clair, net, précis. Il ne s'agit pas ici.de quelque pacte, triangulaire ou autre, prêtant à équivoque, dissimulant sous des formules de facilité d'irréductibles oppositions de doctrines et l'impossibilité dé concilier des intérêts qui s'excluent par définition;, il s'agit de l'union étroite et parfaite dans tous les domaines de la France et de l'Angleterre, de la mise en commun, pour l'oeuvre de paix comme pour la conduite de la guerre, de toutes les forces,de toutes les ressources et de tous les moyens des deux plus grands empires du monde. La solennelle déclaration franco-britannique coupe court à toute manoeuvre, d'où qu'elle puisse venir, en faveur d'une médiation ou d'une paix de compromis. Elle coupe court à toute tentative qui pourrait encore être faite de dissocier les deux grandes démocraties occidentales. Que l'on entende bien, là où l'on hésiterait encore à se rendre compte des réalités de l'heure et où le « neutralisme » - qu'il ne faut pas confondre avec la saine neutralité - conduit parfois à s'abandonner à de singulières illusions,tout ce qUe signifie l'engagement mutuel de la France et de la Grande-Bretagne de ne négo-
    cier ni conclure d'armistice ou de traité de paix si ce n'est en plein accord, de ne discuter les termes de la paix qu'en complète entente en-
    tre elles sur des garanties effectives et durables pour leur sécurité. On connaît maintenant à Berlin, à Moscou, à Rome et dans les pays
    neutres la résolution inébranlable de l'Angleterre et de la France de poursuivre la guerre jusqu'au triomphe de la juste cause pour la-
    quelle elles ont pris les armes.

    De même, le grand principe du maintien de l'union étroite des deux empires au lendemain de la guerre et en vue de la reconstruction d'un ordre international fondé sur la liberté dés peuples, le respect du droit et-le. maintien de la paix se trouve affirmé de nouveau solennellement dans la déclaration du Conseil suprême.Les accords franco-britanniques tels qu'on les connaît servant de base à cet ordre international, l'appel au concours de toutes les nationsde bonne foi et de-bonne volonté, tout y est.Rien n'est laissé dans l'ombré. Les deux'grandes démocraties occidentales qui connaissent la mesure exacte de leurs forces, de leurs ressources, de leur puissance militaire, économique et financière, agissent en pleine clarté.Il appartient maintenant aux autres peuples,clans la pleine conscience de leurs responsabilités envers eux-mêmes, de choisir entre la liberté et la servitude.

    Tel est le seul fait nouveau qui compte réellement; car il marque un tournant dans l'histoire de l'Europe, puisque l'Angleterre, pour la première fois, renonce définitivement à sa politique traditionnelle pour s'unir effectivement à la France dans la paix comme dans la guerre, et constituer avec elle la plus vaste et la plus complète union de deux grands peuples guidés par un idéal commun. animés d'une commune volonté et résolus à agir dans toutes les circonstances, avec tous leurs moyens, en pleine solidarité

     

     

     

     

  • Notre Magazine

    Seconde guerre mondiale : fantassins français dans la forêt des Vosges 1944  Photo Stock - Alamy

    Bonjour et Bienvenue heureux de vous accueillir dans  notre Magazine

    Nous nous présentons nous sommes Soldats,Resistants ,Maquisards, commandos,aviateurs et marins.​​​Beaucoup d"entre nous soldats avons été impliqué dans ce conflit

    nous allons vous raconter notre vie dans nos combats dans nos maquis ,mais aussi avant tout notre conflit beaucoup d'entre nous venions d'horizons différents nous vous parlerons de nos Régiments,nos camarades,notre famille.

    Vous avez sans doute prit connaissance de certains courriers  de nos camarades ?certains d'entre nous vous ont laissé  des témoignages

    Nous vous demandons si vous le souhaitez pour preserver nos souvenirs  de  recolter  nos documents nos témoignages,nos photos 

    Soyez les gardiens de nos souvenirs et notre mémoire

    Vous avez des témoinages?

    des documents?

    Je vous propose d'ecrire le livre de vos souvenirs

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    Merci de continuer a penser à nous

    Voici notre Magazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Régiments et Bataillons de Zouaves

     

    Le 15/02/2023

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    Beaucoup d'entre nous tombent sur les champs de batailles

    d'autres disparaissent

    Aujourd'hui 22 Septembre

    Nous avons déjà donné un grand nombre de noms de soldats amis tombés devant l'ennemi.
    Voici une nouvelle liste de noms,de nos camarades tués dans les derniers cornbats.

    .

    M. l'abbé Charles Fougère, sergent aud'inf.

    M. l'abbé Marcel Banio), sergent d'inf. coloniale

    M. 1 abbé Etienne- Maint, caporal au d'inf. .

    l'abbé 'Minbru, lieutenant au 212, d inf. 

    l'abbé CJuiro, lierrtenant au d'inf.

    Sous-lieutenant Fay. du 6' d'inf. coloniale
    sous-licutenant Joseph Deys, du 70* bat. de chasseurs alpins;

    sous-lieutenant d'Ampharnet,du d'inf. les sous-lieutenants Cazaïas-,
    Olbet et Bernard, du d'inf. colonel Jacquot, du d'inf.

    lieutenant-colonel d'Hauteclocqiie du lie hussards

    sous-lieutenantRoger Shnon-Barboux, du dinf.. petit-fils de l'ancien bâtonnier Bartwux d\et de bataillon Sohwaeblé, du d'inf. lieutenant-colonel Heude, du Il, zouaves.

    Lieutenant Roth,  l'artillerie commandant Emile Battendier. du 75e d'iuf. lieutenant
    Jean Petit du Tl* d'inf. capitaine Emile Fromentin, du d'inf.

    commandant Roger-Nicolas des Fossettes, du d'iaf

    . lieutenant Tranchet, du (W. sous-lieutenant

    A. Bcrmond. du d'inf. capitaine Oranger,
    du iG3e d'inf.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nos camarades disparus

     

    Le 07/03/2018

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    Beaucoup d'entre nous tombent sur les champs de batailles

    d'autres disparaissent

    Aujourd'hui 22 Septembre

    Nous avons déjà donné un grand nombre de noms de soldats amis tombés devant l'ennemi.
    Voici une nouvelle liste de noms,de nos camarades tués dans les derniers cornbats.

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    M. l'abbé Charles Fougère, sergent aud'inf.

    M. l'abbé Marcel Banio), sergent d'inf. coloniale

    M. 1 abbé Etienne- Maint, caporal au d'inf. .

    l'abbé 'Minbru, lieutenant au 212, d inf. 

    l'abbé CJuiro, lierrtenant au d'inf.

    Sous-lieutenant Fay. du 6' d'inf. coloniale
    sous-licutenant Joseph Deys, du 70* bat. de chasseurs alpins;

    sous-lieutenant d'Ampharnet,du d'inf. les sous-lieutenants Cazaïas-,
    Olbet et Bernard, du d'inf. colonel Jacquot, du d'inf.

    lieutenant-colonel d'Hauteclocqiie du lie hussards

    sous-lieutenantRoger Shnon-Barboux, du dinf.. petit-fils de l'ancien bâtonnier Bartwux d\et de bataillon Sohwaeblé, du d'inf. lieutenant-colonel Heude, du Il, zouaves.

    Lieutenant Roth,  l'artillerie commandant Emile Battendier. du 75e d'iuf. lieutenant
    Jean Petit du Tl* d'inf. capitaine Emile Fromentin, du d'inf.

    commandant Roger-Nicolas des Fossettes, du d'iaf

    . lieutenant Tranchet, du (W. sous-lieutenant

    A. Bcrmond. du d'inf. capitaine Oranger,
    du iG3e d'inf.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Magazine des Poilus

     

    Le 24/10/2022

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    Bienvenue heureux de vous accueillir 

    dans  notre Magazine

    nous allons vous raconter notre vie dans les tranchées,

    mais aussi avant tout notre conflit

      beaucoup d'entre nous venions d'horizons différents

    nous vous parlerons de nos Régiments,nos camarades,notre famille

     

    Vous avez sans doute prit connaissance de certains courriers  de nos camarades ?

    certains d'entre nous vous ont laissé  des témoignages

    http://écouter les lectures des lettre

     

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    Nos Agenda

     

    Le 04/08/2022

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    Aujourd'hui 4 Août

    nous allons vous parler

    du 105e anniversaire de la bataille de Passchendaele.

     

     

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    L'Ain

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    Aux nouvelles casernes.En attendant que se construise à Bourg la caserne du 3eme Bataillon

    Monsieur Messimy

    le ministre de la guerre vient d'approuver le devis des travaux complèmentaires à executer aux nouveaux casernements du 23emec e devis comprend le logement

    d'une campagne et divers bâtiments à usages accessoires

    La dépense prévue s'élève à 150 000 Francs

    __________

    Le Carillon à ètè le premierà faire entrevoir le retour prochainet dèfinitif du 3eme bataillon du 23eme à Bourg

    lire la suite

     

     

    Nos Régiments d'Infanterie Coloniale

     

    Le 17/10/2017

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    nos camarades présentés 

    aujourd'hui

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    Notre conflit dans les Régions

     

    Le 15/02/2023

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    Aujourd'hui nous vous proposons de marcher sur nos pas

    ______________________

    Le P’tit train de la Haute-Somme à Froissy

    Ce véritable train à vapeur circule entre Froissy et Dompierre

    sur une voie ferrée construite en 1916 pour les besoins de la bataille de la Somme.

    ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

    Nos sites de mémoire

    dans

    la Somme

    http://www.somme14-18.com

    ________________

     

    Nos Mèmoriaux

    http://www.somme14-18.com/memory-place/

    __________

     Cendrars fut avec Guillaume Apollinaire,

    l’un des inventeurs de la poésie moderne.

    En 1914, il s’engage dans la Légion étrangère.

    De la mi-décembre jusqu’en...

    __________

    LOCHNAGAR CRATER 

    Cornemuses - boisselle

     ©ADRT80 AD Ici, le 1er juillet 1916,

    nos hommes bondirent de leurs positions de départ à 7h28...

    ____________

    LE PARCOURS INTERPRÉTATIF DE LA BATAILLE DU MONT SAINT-QUENTIN

    Le mont Saint-Quentin, à deux pas de la ville de Péronne,

    culmine à seulement 100 mètres d’altitude.

    Durant notre conflit  il constitue un point d’ d’observation idéal

    et une position stratégique de première importance dans le système

    de défense allemand autour de Péronne. 

     

     

    Nos circuits de mémoire

     

    Le 15/02/2023

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    Aujourd'hui nous vous proposons de marcher sur nos pas

    ______________________

    Le P’tit train de la Haute-Somme à Froissy

    Ce véritable train à vapeur circule entre Froissy et Dompierre

    sur une voie ferrée construite en 1916 pour les besoins de la bataille de la Somme.

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    Nos sites de mémoire

    dans

    la Somme

    http://www.somme14-18.com

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    Nos Mèmoriaux

    http://www.somme14-18.com/memory-place/

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     Cendrars fut avec Guillaume Apollinaire,

    l’un des inventeurs de la poésie moderne.

    En 1914, il s’engage dans la Légion étrangère.

    De la mi-décembre jusqu’en...

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    LOCHNAGAR CRATER 

    Cornemuses - boisselle

     ©ADRT80 AD Ici, le 1er juillet 1916,

    nos hommes bondirent de leurs positions de départ à 7h28...

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    LE PARCOURS INTERPRÉTATIF DE LA BATAILLE DU MONT SAINT-QUENTIN

    Le mont Saint-Quentin, à deux pas de la ville de Péronne,

    culmine à seulement 100 mètres d’altitude.

    Durant notre conflit  il constitue un point d’ d’observation idéal

    et une position stratégique de première importance dans le système

    de défense allemand autour de Péronne. 

     

     

    Aujourd'hui

    80 visiteurs - 220 pages vues

    Total

    92417 visiteurs - 234144 pages vues

    Contenu

    Nombre de pages : 106
    Nombre d'articles : 35

    UN PAYS DANS LA GUERRE

    L’internement en Suisse, de 19

    Naissance de l'Irlande en 1916

    COMMUNIQUÉS OFFICIELS

    HISTORIQUES DES RÉGIMENTS

    5eme Régiment d'Infanterie Col

    JOURNAL DES MARCHES ET DES OPÉRATIONS

    Journal des Marches et des opé

    LES POILUS SE SOUVIENNENT D'UN INSTANT VOLÉ:LEUR VIE AVANT LA GUERRE

    Le Paris du soldat Maire Alber

    Le Nancy du soldat Roth

    l' Ain

    6,Octobre 1873

    Année 1877

    Anniversaire du naufrage du Ti

    NOTRE CONFLIT

    Un été en deuil

    Notre situation dans les airs

    Année 1877

    La ligne bleue des Vosges

    De Sarajevo à la guerre

    La Bataille pour Verdun

    Situation de la Guerre au 36 j

    année 1915 la première attaque

    Avril 1916

    La bataille des frontières

    NOTRE UNIVERS

    Notre nourriture

    Nos conditions materielles

    NOTRE BOITE AUX LETTRES

    Courrier du Docteur Lagnieu

    La lettre du jour

    Journal de Guerre

    Témoignages

    la lettre du 5 Novembre 1914

    CARNETS DE RENSEIGNEMENTS

    Le Carnet de Renseignement

    La fourragère et les couleur d

    VERS LA GUERRE

    l'irrémédiable Chemin

    Le grand Départ

    UN NOM UN DESTIN

    Aperçu de la grand guerre:dans

    HISTOIRES MYSTÉRIEUSES ET LÉGENDES DE LA GRANDE GUERRE

    L 'étrange histoire du bataill

    la légende de Nenette et Rinti

    la mascotte de Pégoud

    BATAILLONS DE L'AIN

    Régiment du 47 artillerie de B

    15eme Bataillon de Chasseurs à

    7eme Bataillon de Génie de Bes

    le soldats Roger Maurice Claud

    DOSSIERS

    Nos faits divers

    Franche Comtè dans la guerre

    Franche Comtè dans la guerre

    Le Journal de la Coloniale

    Emile Carlier

    10 mars 1914

    Légende pour amuser les Poilus

    echo infanterie

    le Canard du Poilu 17 Mars

    Notre feuilleton de la 127eme

    une lettre d' un Poilu 17 mars

    11 Avril 1914

    le journal des tranchèes des C

    Oscar Maurice Frappart

    22 juin 1914

    Marcel Renè Desroches 1 Batail

    25 juin 1914

    Ain 25 juin 1914

    3 Septembre 1914

    DANS LA PRESSE

    2 Mars 1914

    NOTRE RÉGIMENTS

    Les soldats du 127e Règiment d

    Louis Emile Calier

    COMMUNIQUÉS OFFICIELS

    HISTORIQUES DES RÉGIMENTS

    5eme Régiment d'Infanterie Col

    JOURNAL DES MARCHES ET DES OPÉRATIONS

    Journal des Marches et des opé

    CARNETS DE RENSEIGNEMENTS

    Le Carnet de Renseignement

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    VERS LA GUERRE

    l'irrémédiable Chemin

    Le grand Départ

    UN NOM UN DESTIN

    Aperçu de la grand guerre:dans

    HISTOIRES MYSTÉRIEUSES ET LÉGENDES DE LA GRANDE GUERRE

    L 'étrange histoire du bataill

    la légende de Nenette et Rinti

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