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Seconde guerre  Résistance Française les hommes de l'ombre

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  • Notre camarade du jour

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    Aujourd'hui 3 Août


     


    Frédérick Christopher "Chris" Ahrens

     

    Sous lieutenant

    3 eme escadron de remplacement et d'entrainement

       
                    Décés 21 juin 1944
           Nebraska
     
    Cimetière de Davenport, Davenport, Nebraska  
    Bloc 9, lot 23

     

     

    Frederick Christopher "Chris" Ahrens est né le 3 décembre 1921 à Davenport, Nebraska. Il était le fils d'August Frederick Ahrens et de Marie Eloise Margarethe Bohling Ahrens. Frederick a servi dans le 3e Escadron de remplacement et d'entraînement en tant que sous-lieutenant pendant la Seconde Guerre mondiale. Le 2LT Ahrens a été stationné à Toome du 16 mai au 21 juin 1944. Il était Bombardier-Navigateur sur un B-26. Le 21 juin 1944, son avion s'est écrasé sur Slieve Gallion, en Irlande du Nord et lui et le sergent Alfred J. Knap ont été tués sur le coup. Le copilote 2e. Le lieutenant Joseph B. Delvilbiss est décédé environ 3 heures après le crash. Le 2LT Ahrens a d'abord été enterré dans l'ancien cimetière militaire américain de Lisnabreeny en Angleterre. Le cimetière ferma en 1948 et ses restes furent exhumés et transférés. Il est maintenant enterré au cimetière de Davenport, Dave

     

     

     

     

     

     

     

  • Bourgogne Franche Comte

    15 juin 1940, les combats pour les ponts de Sens

     

    Guerre 39/45, Soldats français, 1940, Vintage silver print vintage silver  print | eBay

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la Franche-Comté est le théâtre du projet Burgund imaginé par les autorités nazies. Il s'agit du projet le plus abouti visant à déplacer la population germanophone du Tyrol du Sud (Südtirol) dans un territoire du troisième Reich. nous vous expliquons:

    Heinrich Himmler , le leader des SS , était le plus ardent défenseur de la création d'un Etat bourguignon sous contrôle allemand . Selon Himmler, la Bourgogne, qu'il appelait «un ancien centre économique et culturel», avait été «réduite à rien de plus qu'un appendice français, connu seulement pour sa production de vin ». Ce plan entraîna la transformation de la Bourgogne en un Etat-modèle nominalement situé hors du Grand Reich allemand , mais néanmoins gouverné par un gouvernement national-socialiste , et qui aurait aussi sa propre armée, ses lois et ses services postaux. Il était censé englober la Suisse française ( Romandie ), la Picardie avecAmiens , le quartier Champagne avec Reims et Troyes , la Franche-Comté avec Dijon , Châlons et Nevers , le Hainaut et le Luxembourg (Belgique) . Il devait également avoir une connexion à la fois à la mer Méditerranée et à la Manche . La capitale et le siège administratif ont été provisoirement proposés comme Dijon ou Nancy ( Nanzig ) comme capitale. Sa langue officielle était de devenir allemand, mais serait d'abord aussi français .

    Son gouvernement serait présidé par un chancelier , qui serait responsable devant un représentant du Reich allemand qui recevrait le titre de Reichsverweser . On supposait que le Reichsführer-SS (Himmler lui-même à l'époque) assumerait le second de ces deux postes, et que Léon Degrelle , chef des fascistes belges , deviendrait son premier chancelier. Degrelle lui-même était un partisan notable de la motion. Son propre objectif en collaborant avec les Allemands pendant la guerre était de restaurer le domaine bourguignon de Charles le Téméraire avant sa mort en 1477 sous son propre règne. 

    Que ce soit simplement les rêves de Himmler personnellement ou, comme il le prétendait, jouissent du soutien total de Hitler n'est pas concluante de l'histoire. L'objectif de Hitler vis-à-vis de la France était de l'éliminer définitivement comme une menace stratégique pour la sécurité allemande. En fait, la campagne de 1940 en Europe de l'Ouest était entièrement menée de telle sorte que son flanc occidental pouvait être sécurisé avant que l'Allemagne n'engage ses armées à conquérir le Lebensraum en Union Soviétique . Dans cet esprit, des plans d'envergure ont été élaborés pour que la France puisse être réduite à un état mineur et devenir un vassal allemand permanent.Elle restait fermement dans l'état de dépendance où elle s'était retrouvée après l' armistice de 1940 et qu'elle n'aurait donc plus à craindre.

     A la demande de Hitler, après la chute de la France en 1940, un plan prévoyait l' annexion pure et simple d'une large bande de l'est de la France en Allemagne en la réduisant à ses frontières médiévales avec le Saint Empire romain germanique . Cette note, produite par le ministère de l'Intérieur du Reich, constitue la base de la ligne dite nord - est qui séparait la «zone interdite» de la France occupée allemande du reste des zones sous contrôle militaire.  Il a proposé la déportation de ses habitants français et l'installation d'un million de paysans allemands. Il considère que ces zones, ainsi que la Wallonie, sont «en réalité allemandes» et devraient donc être réintégrées. 

    En 1942, Hitler mentionne que l'ancienne région du Royaume de Bourgogne , que la France "avait prise de l'Allemagne dans son moment le plus faible", devra également être annexée à l'Allemagne nazie après l'incorporation de la zone interdite, mais à quelles régions par cette déclaration reste flou

     

    La Franche-Comté, semble présenter plusieurs similitudes avec certains aspects du Tyrol, c'est pourquoi elle sera  visitée par plusieurs dignitaires nazis, dont Himmler qui séjournera à Dole, son objectif; 'effectuer les préparatifs. Le projet tombe rapidement dans l'oubli lors de la bataille de France (1940) et ajoutons qu'elle vous sera révélé ne sera révélé bien aprés notre époque en 1985.

    En juin 1940, l'armée allemande entre en Franche-Comté. La ligne de démarcation qui est en partie calquée sur la Loue, divise la région en deux. La Franche-Comté se distingue par la présence de nombreux maquis qui s'établissent dans les forêts, les collines et les montagnes. Cette résistance n'est pas sans coûts humains,  sachez par exemple,  que 99 résistants sont fusillés à la citadelle de Besançon . En septembre 1944, la région est libérée, excepté le nord du département du Doubs qui l'est deux mois plus tard.

     

    Les vastes forêts du Morvan et du Jura ont abrité d’importants maquis. En témoignent les Musées de la Résistance de Besançon et de Saint-Brisson. Dans le village martyr de Dun-les-Places, un mémorial et un parcours dans le village, équipé d’outils d’interprétation numérique, sont dédiés aux victimes du massacre de juin 1944, auxquels s’ajoute un itinéraire de 21 stations liées à la Résistance dans le Morvan.

    A Génelard, un centre d’interprétation est installé à proximité du canal du Centre où se situait un des postes de contrôle de la Ligne de démarcation.

     

    Nous recherchons des temoignages,lettres,Photos de  Bourgogne Franche Comté  pendant la Seconde Guerre

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  • l'Armée

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    Guerre 39/45, Soldats français, 1940, Vintage silver print vintage silver  print | eBay

    Nous vous présentons ici  un apercu de la situation

     

    La France, par l’intermédiaire d’Edouard Daladier en 1927, s’engage à ne plus jamais déclarer « la guerre à aucun peuple » mais qu’elle est cependant « résolue, fermement résolue, à maintenir intacte ses frontières ». Résultat, l’état-major, avec les moyens dont il dispose, s’oriente vers une stratégie uniquement défensive, statique et attentiste. Entre 1931 et 1939, plusieurs plans sont ainsi élaborés mais ils ne varient guère. Tous sont pensés autour de la ligne Maginot, qui abrite entre 200 000 et 220 000 soldats entre 1939 et 1940 et la mission générale en reste la suivante : permettre dans un premier temps une défense initiale et assurer sans esprit de recul. Parer aux tentatives de débordement des troupes allemandes, protéger les centres vitaux de l’est de la France et permettre un temps de mobilisation de l’armée aux frontières.

    L’objectif est donc de contraindre l’ennemi à s’engager dans une guerre longue et d’usure afin de laisser le temps à l’armée française de monter en puissance pour ensuite s’engager dans une contre-offensive avec ses alliés.

     

    En 1936, une nouvelle guerre contre l’Allemagne devient subitement une réalité et nous  Francais nous nous  lançons alors dans une modernisation de dernière minute de notre outil militaire. Des sommes considérables sont allouées à  notre armée française : 14 milliards de francs en cette même année, 12 milliards en 1938 et 65 milliards en 1939 sur un plan de quatre ans. Effet de cause, l’armée française de 1930 à 1940 va fortement évoluer.

    De gros efforts sont souhaités pour l’aviation et les systèmes de défenses antiaériens, ainsi que la modernisation des matériels et donc des chars modernes. La ligne Maginot n’est plus une priorité. Mais l’industrie française n’est pas prête et les pleines capacités de production ne sont atteintes qu’en 1939. A partir de cette date, les matériels et équipement sortent en nombre. Seulement et pour la plupart, ils sont inadaptés à la guerre moderne, parfois déjà obsolètes et surtout, ils sont mal répartis sur le territoire.

    Si l’état-major note bien l’apparition des chars, (ils existent déjà en 14-18 mais connaissent une formidable évolution) rappelons que ce dernier est engagé dans une politique militaire de défense et non dans une stratégie offensive. Les missions principales sont donc données à l’infanterie et à l’artillerie. Les chars eux, ont un rôle secondaire de « colmatage » des éventuelles brèches profondes.

    Dans son ouvrage publié en 1934 et intitulé « Vers l’armée de métier« , le colonel De Gaulle préconise la création de divisions blindées autonomes. Il imagine ces dernières particulièrement efficaces pour rompre les fronts et effectuer des percées. Mais cette idée faite de l’armée blindée, utilisée dans des campagnes offensives, est systématiquement rejetée par le commandement militaire. En revanche, un certain Heinz Guderian, officier allemand, saura parfaitement exploiter le livre de De Gaulle et il en fera une parfaite démonstration en 1940.

    Le vendredi 1er septembre 1939, l’Allemagne attaque la Pologne sans déclaration de guerre. De nombreux chars, accompagnés de l’aviation et de la Wehrmacht (infanterie allemande) submergent très rapidement l’allié français. Hitler inaugure alors le principe de « guerre éclaire ». Pour cause, deux mois plus tard, l’Est de la Pologne est annexée au Reich. Du jamais vu.

    Théoriquement et lorsque la France déclare la guerre à l’Allemagne nazie, elle est donc pleinement consciente des capacités militaires et des tactiques opérées par l’armée allemande. L’état-major français connait les actions combinées des divisions de Panzers (divisions blindées) et de la Luftwaffe (aviation allemande). Mais pour des raisons encore obscures, ce dernier est persuadé que les combats à l’Ouest ne se dérouleront pas de la même façon. Ainsi, aucune évolution ni rectification du plan militaire n’est alors apporté.

    Hitler est, selon son entourage, livide, surpris, pour ne pas dire choqué. Dans ses nombreux plans envisagés, il ne croyait absolument pas capables la France et le Royaume-Uni d’une telle réaction. Le Führer est inquiet. Pour cause, la grande majorité de son armée est engagée dans la campagne de Pologne. A l’Ouest, sa frontière est maigrement défendue, elle ne fera pas le poids face à une offensive ennemie d’envergure.

    Mais le haut-commandement de l’armée française, obstiné dans une doctrine défensive désormais dépassée, ne réagit pas. Aucune offensive forte n’est lancée contre l’Allemagne. Probablement cette dernière aurait changée l’Histoire de la Seconde Guerre Mondiale qui peut-être, ne serait d’ailleurs pas devenue mondiale. Néanmoins, il ne s’agit là que de suppositions, potentiellement fausses. Quoi qu’il en soit, la France ne saisit pas cette incroyable opportunité. La « Drôle de guerre », laisse un formidable temps à Hitler pour retenir les leçons enseignées par la conquête de la Pologne et ainsi de reconstituer ses troupes pour organiser l’invasion de la France.

    Composition générale de nos divisions

    Au mois de mai de l’année 1940, alors que débutent les hostilités avec l’Allemagne, notre armée française est ainsi constituée : 63 divisions d’infanterie sont déployées, elles sont également accompagnées de 7 divisions d’infanterie motorisées, 6 division blindées, 5 division légères de cavalerie et 13 divisions d’infanterie de forteresse (spécialisées dans la défense de la ligne Maginot). La France possède donc 94 divisions actives mais aussi 17 autres divisions d’infanterie de réserve, soit un total de 111 divisions incluant la Légion étrangère et les troupes coloniales.

    En regroupant  nos camarades de l’armée britannique (9 divisions d’infanterie et une division blindée),  l’armée belge (22 divisions d’infanterie) et l’armée hollandaise (10 division d’infanterie), les forces alliées représentent ainsi 156 divisions, dont 7 blindées.

    De son côté et uniquement sur le front Ouest, l’armée allemande engage 118 divisions d’infanterie, 6 divisions d’infanterie motorisées, 10 divisions blindées et une division de cavalerie, auxquelles il faut encore ajouter 22 divisions d’infanterie de réserve. Les forces allemandes déploient alors un total de 157 divisions (dont 10 blindées) face aux armées alliées.

    Arrêtons nous un instant sur les blindés si vous voulez bien . il faut vous dire que ses derniers ont un rôle primordiale en 1940. L’armée allemande attaque le front de l’Ouest en engageant 3 039 chars modernes. La France, malgré un retard certain dans la conception de ses divisions blindées est finalement capable d’en aligner 3 254. Notons cependant que, comme nous l’avons vu plus haut, ces derniers sont, de manière générale, inférieurs aux chars allemands.

    Les Britanniques engagent 600 chars et les Belges 270. Cela porte ainsi les forces blindées alliées à un peu de 4 000 unités contre 3 039 du côté allemand. Au final, on peut donc parler d’une relative supériorité numérique. On ne peut cependant clairement pas parler de supériorité technique et stratégique tant les divisions Panzers sont efficacement supérieures. Et c’est d’ailleurs bien là que se fera toute la différence au cours de la bataille de France.

    A titre d’exemple, la char français B1 bis, élaboré en 1937, considéré comme le plus moderne et puissant et qui représente environ 8% de la totalité des blindés tricolores, est équipé d’un premier canon de 75 mm, d’un second de 47 mm et de deux mitrailleuses en tourelle. Il a une autonomie moyenne de 150 km pour une vitesse comprise entre 20 et 25 km/h. Le reste de la force française est majoritairement équipée de vieux canons 37 mm de 1918, peu efficaces pour cette guerre dite « moderne ».

     

    Char B1 bis de l'armée française en 1940Char B1 bis utilisé par l’armée française en 1940

     

    Si nos chars français sont beaucoup mieux blindés (entre 40 mm et 60 mm en moyenne) que ceux allemands (entre 15 mm et 30 mm en moyenne), il sont aussi bien plus lents. En effets, les blindés de l’armée française se déplacent à une vitesse moyenne de 20 à 30 km/h contre 40 à 55 km/h pour les divisions Panzers, sans parler de l’autonomie de 150 kilomètres contre plus de 200 côté allemand.

    Autre fait important et qui concerne davantage l’aspect tactique que technique, l’armée allemande utilise ses chars de manière massivement regroupée et en premières lignes. Les chars français eux, dont dispersés et restent principalement en retrait dans l’objectif, comme nous l’avons vu, de colmater les éventuelles brèches.

     

     

     

     

     

     

  • Nos Unes

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    Aujourd'hui 26 Juillet


    Guerre 39/45, Soldats français, 1940, Vintage silver print vintage silver  print | eBayBonjour 

    Voici les dernières infos a retenir

     

     

     

    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’L'histoire colonel Passy (1911 -1998) l'abord celle d'une xtraordinaire destinée. capitaine s partie poignée volontaires Gaulle n'aurait esperer réussir généra aucune les SÉBASTIEN ALBERTELLI avec Gaulle. plan, décision alors victime d'une «affaire politique successeur Est-illa archive longtemps Francel SÉBASTIEN PASSY COLONEL UT 791021 @ CNL LeColone.in1 LE COLONEL PASSY Le maître espion du général de Gaulle 26,90€ Tallandier Tallandier 25/07/2023 12:54’

    "Le colonel Passy. Le maître espion du général de Gaulle" :

    voici la couverture définitive. Les ouvrages proprement dits suivront le mois prochain 

    la sortie est prévue le 14 septembre 2023.

     

     

     

     

     

     

     

  • Hommages à nos Maquisards

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    Aujourd'hui 26 Juillet


    Aucune description de photo disponible.

    Salomon Alice

    née en 1927 à Gresse-en-Vercors (Isère) -

    2014 Echirolles (Isère).

    Étudiante à Grenoble, ses allers et retours quotidiens avec Gresse firent d’elle rapidement un agent de liaison volontaire précieux entre les résistants de la ville et ceux du Trièves ; elle s’engagea plus avant transportant tracts et mots d’ordre, en alertant les maquis des menaces, en aidant aux ravitaillement des camps, en hébergeant à deux reprises un maquisard traqué.

    Ses états de service lui valurent la Croix de guerre avec étoile de bronze en 1945.

    Hommage de Mr HUILLIER, président des Pionniers du Vercors."Gresse en Vercors Infos".

    Photo Association nationale des pionniers et combattants volontaires du maquis du Vercors

     

     

     

     

     

     

     

  • Retour en photos

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    nous vous présentons nos camarades


     

     

    Peut être une image de 8 personnes et texte

    Groupe FFI "section David"

    photographié à Ploaré en septembre 1944.

    Daniel Kéravec (1922-1951) de Plozévet au 2ème rang (photo de famille Kéravec). Devant, au centre les deux chefs de section...

     

     

    Nous recherchons des lettres et Photos

    de FFI  de cette section David

    Contactez le Magazine

     

     

     

     

     

     

     

     

  • le Mur de Souvenir de nos Camarades Résistants Bretons

    Résultat de recherche d'images pour "RESISTANC FR"Education/idées lecture pour les enfants. Découvrons le mémorial de la  Résistance en Vercors


    Aujourd'hui 27 Septembre


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Instants de Resistance

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    Aujourd'hui 17 Avril


    Mémoire Bretagne 1944

    immersion en Bretagne Occupée

    « Pierrot », le facteur pris la main dans le sac pour acte de résistance..

    Malheureusement le pauvre sera exécuté par les Allemands un après-midi du 6 Juin 1944 en place publique pour exemple.

    fflsas.org/fr/content/201

     

     

     

     

     

     

     

 

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Détail de la couverture du premier numéro de Résistance (via Gallica).

Lucie Aubrac

" Le mot résister doit toujours se conjuguer au present   "            Lucie Aubrac

 

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