Déroulement de nos actes de Résistance
Chaque jour
Les hommes
de
l'ombre
vous parlent des évènements
et
des Faits de Résistance
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Information du Magazine
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 26 Juillet
Bonjour
Beaucoup d'entre nous s'éteignent au fil du temps et les mémoires sur notre période s'effacent
Nous souhaitons continuer le devoir de mémoire
Notre Magazine travaille sur un projet de collecte pour continuer le devoir de Mémoire .
Nous recherchons des témoignages, des correspondances, des photos, des petits objets .
Cette collecte est très importante pour nous pour que jamais on nous oublie.
Nous faisons appels à votre générosité pour nous rendre hommage nous nous sommes battus pour la liberté nous esperons ainsi que cette collecte nous fasse revivre
contactez notre Magazine .
Merci par avance
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Notre Musée virtuel
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 5 Novembre
Porte-avions de la Seconde Guerre mondiale trouvé dans la mer de Corail. https://www.jetsprops.com/.../wwii-aircraft-carrier-found...
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Dans la Manche
- Le 06/06/2022
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Après l'armistice du 22 juin à Rethondes, la Manche est placée directement sous le contrôle allemand. La Feldkommandantur 722 contrôle l'ensemble du département dans les domaines militaire, civil et économique [1]. Quatre Kreiskommandanturen chargées d'affaires civiles sont implantées à Avranches, Cherbourg, Coutances et Saint-Lô, les chefs lieux d'arrondissement [1]. Deux Hafenkommandantur contrôlent les activités portuaires à Cherbourg et Granville, des Kommandanturen ont autorité sur les unités stationnées dans les chefs-lieux de canton et les bourgs importants, pouvant utiliser la Feldgendarmerie et même la gendarmerie et les policiers français
Dès juillet 1940, les Allemands recensent les entreprises du département et procèdent à des réquisitions. À partir de 1942, la Relève doit permettre le retour de prisonniers de guerre contre le départ de travailleurs français volontaires, et, à partir de 1943, le Service du travail obligatoire (STO) se met en place, des réfractaires refusent de travailler pour l'occupant [1].
La Manche subit la construction du Mur de l'Atlantique à partir de 1943, les habitants doivent avoir une carte de circulation pour la zone côtière interdite et même un permis pour pratiquer la pêche à pied.
Environs quarante-cinq mille de nos camarades Manchois, des classes 1909 à 1938, sont mobilisés, la Défense passive et les comités d'entraide se mettent en place, 5 000 soldats sont réunis sous le commandement du vice-amiral Jules Le Bigot [1].
voir l'article détaillé Invasion allemande du Cotentin (1940)
Sources https://www.wikimanche.fr/
Aujourd'hui 13 Septembre
Nos camarades
Paul Legoupil, mort à Valcanville le 10 septembre 2017, est un résistant de la Manche, ancien déporté, rescapé des camps. Devenu historien après le conflit, Paul Le Goupil a réuni près d'un millier d'ouvrages qui traitent de la résistance, de la répression allemande et de la déportation pendant la seconde guerre mondiale. Cette collection a été donnée aux Archives de la Manche. Actuellement en classement, son inventaire est peu à peu mis en ligne sur notre site.
Pour en savoir plus sur la collection Paul Legoupil
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Témoignages
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui10Mars
1941. Paris. Il est embauché comme facteur. Alors, à vélo, il transporte du courrier. Et des tracts du Parti communiste. Et puis il passe à l'action armée. Et il est pris. Et jugé avec ses camarades des bataillons de la jeunesse. Et fusillé, le 9 mars 1942. Pierre Milan. 17 ans.
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France culture
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 24 Août
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Sur les 1038 compagnons de la Libération, seuls six étaient des femmes. Longtemps occulté, le rôle des femmes dans la Libération fut pourtant décisif.
FRANCECULTURE.FR.Compagnons au féminin, les héroïnes de la Libération.Longtemps occulté, le rôle des femmes dans la Libération fut pourtan
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Nos Maquis
- Le 06/06/2022
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Les Maquisards sont nés dans l’hiver 1942-1943, de l’initiative de réfractaires ayant décidé de se cacher pour fuir le départ en Allemagne au titre de la Relève, puis, en février 1943, pour échapper au Service du travail obligatoire (STO). Mais il ne faut pas confondre réfractaires et maquisards. En effet, s’ils sont tous entrés dans la clandestinité pour échapper aux forces de l’ordre, très peu de réfractaires on choisi de prendre le maquis (10 à 20 %). Les premiers maquis sont des camps de regroupement aménagés à la hâte dans des massifs forestiers, souvent dans les régions de montagne. Les hommes affluent plus nombreux tout au long de l’été 1943, renforçant quelques camps précurseurs qui avaient vu le jour dès le printemps 1942, sous l’impulsion d’individualités fortes qui avaient fait le choix immédiat de la lutte armée (Georges Guingouin ou Henri Petit, qui deviendra le colonel Romans-Petit par exemple). A Londres, le général de Gaulle craint que ces maquis n’échappent au contrôle de la France libre. L’auteur estime qu' »un seul homme allait cependant se montrer plus visionnaire que les autres : Henri Frenay, le fondateur du mouvement Combat« , qui envoie à Londres un premier texte proposant la formation de réduits dans les massifs montagneux, puis un second rapport en avril 1943, précisant sa stratégie concernant la transformation des réfractaires en maquisards combattants.
L’apparition des maquis à modifié profondément la structure de la Résistance et la nature de son action, » imposant notamment au sein des mouvements dominants de résistance la question de leur emploi, d’une part, celle du passage à la lutte armée et l’action immédiate d’autre part. ». En effet, l’afflux des hommes « montant au maquis » à partir du printemps 1943 représente un phénomène tout à fait imprévu, qui place les dirigeants de la Résistance devant le fait accompli. Ni le général de Gaulle, ni les Anglo-Américains ne sont à l’origine favorables à l’organisation d’une résistance armée qui mènerait une guérilla « qui aurait l’immense inconvénient de renforcer les effectifs des troupes d’occupation, compromettant sérieusement le bon déroulement d’un débarquement en France« . La France libre admettrait à la rigueur un regroupement de maquisards dans le massif du Vercors, alors que Frenay n’est pas favorable à la constitution de gros « maquis mobilisateurs ». Il souhaite encourager la formation de petits groupes mobiles d’une trentaine d’hommes. Dans cet objectif il crée un « Service maquis » pour former les volontaires en vue d’en faire des combattants, une » Ecole des cadres du maquis » pour les doter de responsables expérimentés, et un « Comité d’action contre la déportation » pour empêcher les départs des travailleurs contraints vers l’Allemagne. Progressivement la France libre va se rallier à l’idée d’une action immédiate (sabotage et guérilla) des maquis et les Anglais vont se résoudre a les armer quant ils auront constaté, par l’envoi de missions en France, leur organisation et leur potentielle efficacité.
De Gaulle voyait d’un mauvais oeil « le développement anarchique de la lutte armée en France » ; il cherche donc à intégrer les maquis « dans une stratégie militaire globale et cadrée« . Il fait le choix de maquis mobilisateurs rassemblant plusieurs milliers d’hommes dans une forteresse naturelle qu’il serait assez aisé de défendre, avant de passer à l’offensive sur les arrières de l’armée allemande, après le Débarquement, dans le cadre d’une opération alliée. L’Organisation de résistance de l’armée (ORA), dont les cadres sont pour la plupart des militaires issus de l’Armée d’armistice, refuse toute action de guérilla subversive et accepte la stratégie londonienne. L’Armée secrète, qui regroupe les formations paramilitaires des trois mouvements de zone Sud, défend la même position, n’entendant pas se lancer dans la guérilla et dans l’action immédiate sans l’aide et l’accompagnement des troupes alliées. Par compte quand les FTP constituent des maquis -à l’origine ils ont privilégié la guérilla urbaine-, ils s’opposent a cette tactique et à cette stratégie. Ils sont favorables à la création de petits maquis, multipliant les sabotages et engagés dans une guérilla permanente.
La lutte armée a précédé les maquis, qu’il s’agisse des opérations menées par les Jeunesses communistes dès 1941 ou par les groupes francs constitués au sein du mouvement Combat. Mais quand les réfractaires affluent par dizaines de milliers dans les montagnes françaises, il devient nécessaire de les rassembler, de les organiser, de les encadrer, de les motiver, de les nourrir et de les armer. Ce qui suppose des moyens en hommes, en finance et en armes. Le service maquis des MUR (Mouvements unis de résistance, en zone sud) se fixe pour objectif de transformer ces maquis refuges en maquis combattants, capable de pratiquer d’abord les sabotages. Des armes en nombre suffisant ne peuvent venir que de Londres, ce qui suppose que les chefs de maquis puissent entrer en contact avec la France libre ou avec les Anglais (seuls détenteurs des moyens logistiques de parachutage), et que les maquis soient considérés comme des éléments à prendre en compte dans une stratégie de libération.
Au fil des années les derniers temoins de cette periode s'éteignent et les mémoires s'effacent
N'oubliez pas...
Nous travaillons sur un projet de collecte pour continuer le devoir de mémoire
Nous recherchons des Photos,des temoignages,des lettres des objets
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Mont Valerien
- Le 06/06/2022
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Aujourd'hui 17 Avril
1942
Exécution de 20 résistants condamnés à mort par le tribunal militaire allemand de Paris lors du procès de la Maison de la Chimie durant lequel 26 camarades de l'Organisation spéciale et des Bataillons de la jeunesse ont comparu, du 7 au 14 avril 1942.
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Nos camarades Canadiens
- Le 06/06/2022
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La Seconde Guerre mondiale a débuté en 1939, lorsque l’Allemagne a envahi la Pologne, et a pris fin en 1945, au terme de six années de féroces combats. Plus d’un million de Canadiens et de Terre-Neuviens ont servi pendant cette guerre, au pays et dans le monde entier, et plus de 45 000 de nos braves hommes et femmes en uniforme ont perdu la vie et 55 000autres ont été blessés. decouvrir
Aujourd'hui 6 Juin
Caporal Francis Pegahmagabow
Collection d’archives George-Metcalf
MCG 20030035-006
Francis Pegahmagabow a été l’un des quelques soldats canadiens (39 au total) à recevoir la Médaille militaire et deux agrafes pour son service. Sa Médaille militaire lui a été décernée en 1916 pour ses deux années de service précédentes à titre de messager dans des conditions dangereuses, et les agrafes subséquentes lui ont été remises pour ses actes de bravoure dans la bataille de Passchendaele, en 1917, et durant la Campagne des 100 Jours, en 1918.
.Après la guerre, Francis Pegahmagabow est rentré au Canada. Il est devenu par la suite chef de la Première Nation de Wasauksing et défenseur des droits des Autochtones.
.Les médailles de Francis Pegahmagabow et sa coiffure de Chef suprême d’Amérique du Nord sont exposées dans la galerie 2 du Musée de la guerre.